La joie de l’action de grâces
« Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses, car c’est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ. » 1 Thessaloniciens 5.16-18
« Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses, car c’est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ. » 1 Thessaloniciens 5.16-18
L’enseignement de Paul concernant la Sainte Cène en 1 Corinthiens traite un problème dans l’église de Corinthe. Dans l’église primitive, la Sainte Cène était célébrée différemment. C’était un repas complet. Les croyants se rassemblaient, partageaient un repas puis célébraient ensuite un culte d’adoration. Cependant, il semble que certains croyants arrivaient en avance et commençaient à manger sans attendre que tout le monde arrive.
Le livre de l’Apocalypse est unique. Bien que ce soit une lettre similaire à d’autres lettres du Nouveau Testament et écrite à des personnes qui se trouvent dans un contexte historique et géographique particulier (Apocalypse 1.4), ce livre est différent car il va au-delà des instructions sur la doctrine et l’éthique chrétienne qui constituent le contenu principal des autres lettres du Nouveau Testament. L’Apocalypse est aussi une « prophétie » (Apocalypse 1.3 ; 22.18-19).
Au dernier chapitre du livre de l’Ancien Testament qui porte son nom, Josué a rassemblé le peuple de Dieu pour s’adresser une dernière fois à eux avant de passer les reines aux personnes qui venaient de prendre possession de la Terre promise. L’idée centrale de son discours était que, maintenant que le peuple était établi en Canaan, ils allaient devoir choisir quel dieu ils allaient suivre et choisir comme manière de vivre. Allaient-ils servir l’Éternel (Yahvé) ou allaient-ils s’attacher aux dieux des autres nations qui vivaient dans le pays ?
Les Nazaréens croient aux Saintes Écritures. Nous croyons que Dieu, par son inspiration divine, nous a donné soixante-six livres par lesquels il a révélé infailliblement sa volonté à notre égard pour tout ce qui est nécessaire à notre salut. Comme l’affirme notre profession de foi commune, nous sommes convaincus que ces livres « contiennent toutes les vérités nécessaires à la foi et à la vie chrétienne ».[1]
À la fin de l’une de mes premières journées en tant que professeur de musique à l’école pour aveugles du Kansas, une collègue se tenait à la porte de ma classe et me dit : « On dirait que tes débuts en tant que prof se passent mieux que pour moi. »
J’entendis le Saint-Esprit me murmurer : « Dis-lui que tu as prié pour ça ». Mais je me dis : « Oh, mais je ne la connais pas assez pour lui dire ça » et je mis de côté cette idée.
Si je me fie à ma mémoire, je crois que la Bible est devenue vivante pour moi durant mes années étudiantes. Je n’étudiais pas dans une université nazaréenne ou chrétienne. J’étudiais le journalisme à l’université du Missouri dans la ville de Columbia. J’ai tout de suite trouvé une bonne église.
Deux des quatre évangiles contiennent des versions du Notre Père – Matthieu et Luc. Mais la plupart d’entre nous connaît mieux la version de Matthieu, qui se trouve dans le sermon sur la montagne (Matthieu 5-7). C’est la version à laquelle nous allons nous intéresser (Matthieu 6.9-13).
« Qu’est-ce qu’un évangile ? » C’était l’une des trois questions que l’on m’a posées pendant mon examen universitaire de trois heures. C’est une question complexe, à laquelle je suis toujours en train de répondre !
Les psaumes sont des chants sacrés qui étaient chantés dans le temple par les adorateurs juifs de l’époque ancienne. Dans les psaumes, nous trouvons des expressions de grande joie et de confiance en Dieu, mais aussi de profondes angoisses et des appels à l’aide.
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