janvier 2023

L’eucharistie comme action de grâces

J’aime partager le repas du Seigneur. J’aime ce moment, que ce soit dans un grand ou un petit rassemblement. J’aime qu’il soit célébré dans un moment calme de réflexion ou avec une louange animée. J’aime recevoir la Sainte communion à genou devant l’autel, debout les mains ouvertes ou en passant les éléments à chaque personne de l’assemblée. J’aime être à la table ouverte qui accueille tous ceux qui ont faim de connaître le Christ et de le recevoir dans les espaces les plus profonds de leur vie. Cependant, je n’ai pas toujours connu cette même expérience lors de ce repas.

Le pouvoir d’une vie de reconnaissance

Il y a plusieurs années, Diane et moi avons eu la chance d’entendre Zig Ziglar donner une conférence d’une journée sur le thème du leadership. Nous étions invités par un couple dont nous avions récemment fait la connaissance, et ce moment fut le début d’une belle amitié. Ce jour-là, Ziglar déclara : « La gratitude est la plus saine de toutes les émotions humaines. Plus vous exprimez de la gratitude pour ce que vous avez, plus vous aurez de chance d’avoir encore davantage de raisons d’être plein de gratitude. »

Vuka!

J’ai récemment eu l’occasion de discuter avec un groupe de pasteurs à Kwa-Zulu Natal en Afrique du Sud du thème de la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté. Pris ensemble, ces mots décrivent le changement constant et imprévisible qui domine dans nos cultures et qui est fréquemment désigné par l’acronyme anglais VUCA (Volatility, Uncertainty, Complexity, Ambiguity). Cette conversation avec les pasteurs a eu lieu presque un an après le 12 juillet 2021 qui a été marqué par des émeutes et une révolte politique en Afrique du Sud.

Rédemption

J’ai grandi dans la pauvreté en Caroline du Nord. Ma mère s’est mariée avec mon père alors qu’elle avait 16 ans. Je suis née un an et demi plus tard. Nous déménagions beaucoup, vivant souvent dans des locations sans air climatisé ni téléphone. Mes parents étaient tous les deux dépendants à la drogue. Ma mère était alcoolique à l’extrême et mon père était accroc à l’héroïne. Ils ont divorcé alors que je n’avais que trois ans.